Je m’en entoure, je les accroche, je les regarde, je les
contemple, je les photographie, je les tourne et retourne, je les collectionne, je les interroge, je les
note aussi…
Dans les dessins de mes especiaux, je vois les manques et
les trop pleins, tous ces petits mondes que j’entraperçois parfois, les mots
qui ne sortent pas, les gestes qui sortent mal et je suis très émue.
Dans les dessins de mes élèves de secondaire, je lis
l’application de certains, le désintérêt des autres, l’épanouissement des uns,
le conventionnalisme des autres.
Certains dessins me surprennent et d’autres m’ennuient… tous me parlent de mes
élèves avec lesquels j’ai passé une année et je suis très émue.
Quelques images de ce musée intérieur qui n’a rien
d’imaginaire…
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